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« Pianoman » serait allemand, selon un hôtelier italien

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Pianoman serait allemand et s'appellerait Michael Bartling. C’est ce que prétend un hôtelier du Trentin, dans le nord de l'Italie. Roberto Pincelli a fait le rapprochement entre le mystérieux pianiste découvert le 7 avril dans une île au sud de l'Angleterre et un homme qu'il avait hébergé dans une de ses chambres à Arco, près du lac de Garde du 12 novembre au 7 décembre 2001.

L’hôtelier a raconté au quotidien Il Trentino qu'au cours de son séjour, Michael Bartling s'était mis au piano à deux reprises et que sa musique était "céleste".

Des centaines d'appels téléphoniques et d’émiles reçus par les enquêteurs n'ont pas encore suffi à percer le mystère. [Source : AFP].

→ Voir « Pianoman » excite les journaux britanniques sur toutes les gammes. Voir aussi les commentaires : l'un d'eux signale que la télé espagnole l'aurait plutôt "vu" en Français de Nice… L'Europe, on vous dit!

PS : Attendez ! C'est grand l'Europe, surtout élargie… Dans "Le Monde" [21/05/05] Éric Fottorino se met aussi de la partie (de cache-cache). Il commence par écrire que "Pianoman" a été retrouvé "dans un port du Kent"; mes sources, multiples, paraissent attester qu'il s'agit de l'île de Sheppey, dans le Kent [voir l'article précédent]. A part ça, Il est question d'un mime polonais vivant à Rome, qui a raconté au Corriere della Sera et au Messagero, (re)connaître le mystérieux pianiste. Ils donnaient ensemble des spectacles de rue. Son nom : Steve Villa-Masson, un Français de 25 ans vivant à Nice. Mais celui-ci, qui existe bel et bien, s'est manifesté, faisant apparaître son ex-complice artistique comme un fieffé affabulateur.
Voilà donc encore une piste qui s'effondre – vraisemblablement c'était celle annoncée par la télévision espagnole.
Suite au prochain numéro.

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Une réflexion sur “« Pianoman » serait allemand, selon un hôtelier italien

  • Sophie SPITERI

    Bonjour,

    Je vou­lais sim­ple­ment vous dire que j’au­rais trou­vé sym­pa­thique, de la part d” un confrère, de deman­der mon auto­ri­sa­tion avant de mettre l’une de mes pho­tos en ligne.

    Sophie SPITERI

    Répondre

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