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Nouvelles du front. Le sort des journalistes reflète de près l’état du monde

Certes, je ne suis pas le dernier à dégoiser sur la presse et ses abus. Pas le seul non plus, heureusement. Il le faut en nos contrées où les délires médiatiques sont à l’image de nos sociétés gavées de tout, surtout de produits frelatés. Pour autant, je ne manque jamais de dire que, même avec ses abus, les inconvénients de toute presse valent mieux que pas de presse du tout…

Pour s’en convaincre, au besoin, ces quelques exemples venant non pas des zones de guerre ouverte mais du « front » plus lointain, là où des journalistes du quotidien travaillent au péril de leur liberté et aussi de leur vie.L’IFEX (Échange international de la liberté d’expression), basé à Montréal, œuvre à défendre et à promouvoir la libre expression via un réseau mondial de 64 organisations. Son bulletin hebdomadaire est des plus inquiétants sur l’état du monde. Au sommaire :

→ Mexique. Des journalistes visés par les trafiquants de drogue
→ Colombie. Un climat de peur étouffe les médias à Cúcuta
→ Haïti. Un journaliste tué
→ Philippines : Les chiens de garde de la liberté de la presse sont traités d’«ennemis de l’État»
→ Népal : Un rédacteur en chef meurt de ses blessures

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