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Marseille « Kultur » – 2. Et je ressors mon revolver !

Amandine s'est surpassée. A rendre Pascale jalouse (voir le papier d'avant) [© fp]
Amandine s'est surpassée. A rendre Pascale jalouse (voir le papier d'avant) [© fp]
…Parce qu'il y a "ça" aussi, sur les rayons de la culture triomphante  (on écrit alors plutôt Kultur) :  Ce chef d'œuvre trône du côté des plages marseillaises, histoire de célébrer l'année Capitale. Pas mal non plus, et dans la même veine conceptuelle; avec toutefois un peu plus d'audace; on a dû ici faire appel à la soudure et à des matériaux plus riche que le bois de cageot si caractéristique de l'oeuvre précédemment analysée par notre chroniqueur artistique. Mais la faiblesse de l'admirable chose vient indéniablement de son intitulé, platement descriptif.

2©fp

Alors là, Amandine, je regrette d'avoir à vous le dire aussi crûment : Vous vous êtes pas fait chier !

Et  puis, nous avons aussi trouvé ce monument d'avant-garde, nouvellement repensé et redécoré. Ça peut se visiter (gratuitement) sur le plateau de Puyricard, non loin d'Aix-en-Provence, ville d'eau et d'art comme on sait.

Les pendouilleries ornent joliment ce château du XXe, lui ajoutant une touche de modernité technologique. Un joyau d'architecture et d'urbanisme.
Les pendouilleries ornent joliment ce château du XXe, lui ajoutant une touche de modernité technologique. Un joyau d'architecture et d'urbanisme.
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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

6 réflexions sur “Marseille « Kultur » – <span class="numbers">2</span>. Et je ressors mon revolver !

  • Dany

    Oui, Marseille est bien la Capitule de la Cultart.

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  • faber

    Petit bras l’Amandine. Faut qu’elle vienne en Moselle cher­cher l’ins­pi­ra­tion. Ici, ce sont les hauts four­neaux qu’on expose avec spec­tacle laser, ou les mines qu’on trans­forme en muséée, ou les friches indus­trielles – j’a­dore le mot – qu’on déguise en parc de jeux. Alors, son petit mor­ceau de béton, qu’elle le pose dans son jar­din, ça fera plai­sir aux oiseaux.

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  • Gian

    Ce mira­dor n’est pas aux normes, il manque l’af­fût pour la mitrailleuse et la petite gla­cière obte­nue chè­re­ment par la CFDT pour tenir le jaune au frais. D’autre part, cette vue le montre clai­re­ment, il n’y a pas le pan­neau régle­men­taire aver­tis­sant les aveugles qu’il est dan­ge­reux de plon­ger à marée basse. Enfin, il serait plus sage de par­ler de Ausbildung que de Kultur, un faux ami qui s’ap­pa­ren­te­rait plu­tôt à « civi­li­sa­tion ». Puisqu’on est dans des marais équi­voques, peut-on consi­dé­rer que Marseille renou­velle la prouesse du IIIeme Reich et sa fameuse expo « entar­tete Kunst », l” « art dégénéré » ?

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  • liberté

    Vous êtes vache­ment durs, j’veux dire, ouais c’est trop créa­tif, quoi ! Trop top enfin !

    l’i­ma­gi­na­tion dans tout çà… Elle existe, pourtant !

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  • Jacques

    L’art, enfin ce qui en tient lieu et le pré­tend, et la socié­té vont de paire. Selon les époques, ils se dépriment l’un l’autre ; en tout cas se reflètent. La triste mine de l’un reflète le mal pro­fond qui mine l’autre. C’est pas gai, hein ?

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  • Au secours ! Je me noie… Et per­sonne sur le Mirador… Dedans non plus… Dessous peut-être.… C’est peut-être une façon de recy­cler les inven­dus des grandes sur­faces de bricolage…
    Marseille.….….… KutlureuKong !

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