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Le climat, peut-être… Mais la connerie ?

Suite, somme toute assez logique, de l'article précédent (il y était question de la fin de l'humanité…), cet exemple pathétique, pris sur le "vif" de l'humanité débile. En l'occurrence, ça vient des Etats-Unis, dans l’État de Virginie de l’Ouest (houille et gaz de schiste…) qui compte le plus de climato-sceptiques (deux tiers des habitants). Mais il n'y aurait qu'à se baisser pour en ramasser à la pelle tout autour de nous. Où l'on voit dans toute sa dimension, l'alliance fusionnelle de l'ignorance et des croyances (surtout religieuses), à quoi vient s’amalgamer, de façon « naturelle » en quelque sorte, la soif maladive du profit. Inépuisable sujet de méditation. C'était ce 28 septembre 2015 dans le JT de 20 heures de France 2.

Modifier l'évolution du climat, ça peut encore se concevoir… Mais que faire de la connerie ?

>>> Vidéo coupée : Des dizaines d'autres films paradent sur la toile – taper "coal rolling" et désespérer du genre humain…

Post scriptum : Dans la même veine et en tout cas sur les mêmes sujets, j'ai failli oublier, cet excellent (comme toujours) billet de Sophia Aram sur France Inter, ce même 28 septembre, au matin cette fois et intitulé Donald, Nadine et Darwin :

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

6 réflexions sur “Le climat, peut-être… Mais la connerie ?

  • J’avais déjà vu ce reportage…
    Il faut vrai­ment qu’ils arrêtent de se marier entre cousins!!!
    Je ne sais pas si le mot conne­rie convient vraiment…
    J’ai là quelques syno­nymes on peut choisir…
    idiotie
    sottise
    stupidité
    crétinisme
    faute
    baliverne
    ânerie
    maladresse
    crétinerie
    couillonnade
    bagatelle
    abrutissement
    futilité
    frivolité
    foutaise
    folie
    déconnage
    bévue
    bricole
    billevesée
    babiole
    abêtissement
    manquement

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  • Gian

    L’avantage des sep­tua­gé­naires que nous sommes, c’est que nous ne voyons et ver­rons que le début du chaos, assez pour nous assu­rer de son iné­luc­ta­bi­li­té, suf­fi­sam­ment pour quit­ter ici-bas sans regrets. A moins que pro­grès de la bio­nique aidant, nous soyons main­te­nus à l’in­su de notre plein gré en assis­tance vitale : que faire, face à l’o­bli­ga­tion au chaos ?

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  • BION

    Permettez moi de dire ici com­bien je suis en com­mu­nau­té de pen­sée avec l’idée de ce chaos iné­luc­table suite à l’i­ner­tie cou­pable des citoyens 

    Mais le même sou­hait de sor­tir d’i­ci-bas, se fait avec un rejet fon­da­men­tal de la médio­cri­té de notre contem­po­ra­néi­té irresponsable.
    BION

    Répondre
    • Bien d’ac­cord, tout comme avec Gian, ci-des­sus ou des­sous… Dès lors, la ques­tion « Que faire ? » du vieil agi­ta­teur Lénine, n’a plus d’ob­jet. Quelle issue dès lors qu’il n’y en a plus ?…

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      • En fait, je ne pense pas que l’hu­ma­ni­té s’en sor­ti­ra. Moi-même, j’ai du mal !

        La vie est quelque chose de mer­veilleux, de gran­diose et de magique. Je me demande seule­ment si elle est faire pour moi, pour que j’en éprouve un plai­sir qui, selon mon genre, mon exis­tence et ma consti­tu­tion, a un impé­tueux, impé­rieux et indis­pen­sable besoin de par­tage. L’amour en est la mani­fes­ta­tion sociale la plus mani­feste, et pour­tant la plus rare, parce que la socié­té humaine abhorre le plai­sir spé­cial issu de la sexua­li­té – qui exulte pour­tant la Vie —, à un point d’une impor­tance telle que son absence cause la plus grande par­tie de ses mal­heurs à cette socié­té humaine, sa misère… et que je m’en vois pri­vé de manière si acerbe. Que je com­prenne pour­quoi cela se passe ain­si ne change pas grand-chose (enfin, je n’ai pas réus­si à par­tir de la gran­deur de la vie à palier à ce grave manque à tra­vers la com­pré­hen­sion que j’en ai) et c’est ce qui me désole le plus : être seul, car être seul dans la grande vie, son immen­si­té, l’in­com­men­su­rable de la vie, ce n’est pas la par­ta­ger, mais y faire face… seul.

        Combien sommes-nous à pou­voir dire cela ? Des mil­lions ! Et, tout comme moi, on ne peut rien faire.

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