Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

6 réflexions sur “Un Ben Laden sans paroles

  • bon­jour, chers Internautes, pour­quoi les gens ont ils peur, peur de Ben Laden. Pourquoi les amé­ri­cain laissent un mys­tère autour de la mort de Houssama ?
    moi je crois qu’il mort puis­qu’il est aus­si humain. mais quant à l’im­mer­sion de corp en mer, je n” y croit abso­lu­ment pas. et vous ?
    1- ils ne veulent pas lais­ser de sépulcre qui risque de deve­nir un lieu de culte.
    2- ont ils fini de pra­ti­quer toutes les ana­lyses et autres « trai­te­ments » sur le corp de BIN ?
    3. que nous reservent les adeptes de Houssama ?
    GRANDE QUESTION n’est ce pas ?

    Répondre
  • Dominique Dréan

    Je ne vais pas être aus­si sérieux que Decard, par­don d’avance !
    Je viens de prendre en route la fin d’une émis­sion sur France Culture, donc un peu avant 19h, sur le thème du ter­ro­risme, et les inter­ve­nants – très moti­vés par le fémi­nisme semble-t-il – évo­quaient à qui mieux mieux « les femmes mar­tyres qui se font sauter ».
    J’attends avec impa­tience que Bobonne rentre de la réunion Tuperware chez ses copines pour lui deman­der ce qu’elle en pense.

    Répondre
  • Gérard Ponthieu

    Le silence est d’or, contrai­re­ment au silence endort…

    Répondre
  • je me marre cher Dominique Dréan, bien vu. France cul porte bien son nom. Plus sérieux, je reven­dique en effet le des­sin muet et j’en cause. Il y a une ten­dance dans le métier de des­si­na­teur de presse à faire des bulles. À bavas­ser. Au des­sus du por­trait de machin – the per­sonne – on balance du bla­bla genre cau­se­rie devant la machine à café. le Canard Enchainé en est un exemple. Plantu de son côté n’au­ra bien­tôt plus de place pour son des­sin. il le lit à la radio, c’est pour dire s’il est bavard. Pour moi un des­sin doit être vu. J’aime la mise en situa­tion et don­ner la parole au lec­teur. Pour le bla­bla, suf­fit de pas­ser 5 minutes au bis­tro pour entendre les meilleurs commentaires.

    Répondre
    • Dominique Dréan

      Bien sûr, un des­sin doit pou­voir se suf­fire à lui même, sur­tout quand il est aus­si per­cu­tant que celui là !
      Quand même, les mots ne sont par­fois pas inutiles et on arrive par­fois à une com­plé­men­ta­ri­té par­faite : Bretecher verse dans la logor­rhée, mais ses des­sins ne sont pas nuls, le tout s’é­qui­libre. Reiser – Bien de chez nous – pra­tique l’é­qui­libre inverse (c’est évi­dem­ment lui que je pré­fère). Ton Monsieur l’Homme n’est pas muet non plus…
      Le des­sin seul est sans doute un idéal, mais pas tou­jours pos­sible à atteindre, et ce n’est pas seule­ment une ques­tion de talent (j’en­voie par ailleurs un des­sin que j’i­ma­gine mal sans parole. J’espère que Gérard pour­ra le joindre).

      Parvenir par­fois à ton image qui dit tout et ouvre toutes les pers­pec­tives, c’est une sorte de chef d’oeuvre. Bravo, Compagnon !

      Répondre
  • La meilleure lisi­bi­li­té est muette, en effet.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Translate »