Entre Victoire et Venturi, le récit d’une aixoise autant que mémorable élévation
A peine redescendu des hauteurs quasi célestes du Mont Venturi (prononcer ventouri, merci), à peine remis en marche les machines communicantes qu’un "émile" (e-mail…) ami – en fait aussi jaloux qu’absent – m’interpelle de la sorte :
« C’est exagéré d’aller gravir le 8 mai la “Sainte” Victoire. Il m’étonne un peu que vous, si iconoclastes, vous vous ralliez à cet espèce de pèlerinage ! Qu’on commémore le 8 mai, soit ! J’en suis aussi. Mais de là à pratiquer l’amalgame... Est-ce cette atmosphère de culs-bénits de laquelle nous sortons (en sortons nous ?) qui vous aurait influencés ? J’avais pourtant cru comprendre que vous vous en défiiez ! »
Je vous passe les détails persos de la missive qui se termine cependant ainsi : « Je vous accompagne de loin, et veille sur vous, oh! Pélerins.... Jean K. »
Eh bien Cher Jean, et tous ces chers amis d’une aussi mémorable journée, voici la preuve pour l’un, le souvenir pour les présents, l’image pieuse pour ceux qui en auraient besoin… Voici donc comment la Lumière fut, en ce 8 mai 2005, au sommet du mont Venturi, vulgairement appelé Sainte Victoire (cliquer sur la photo pour l'agrandir):
Quel rapport, dirons les puristes, avec l’objet de ce blog en principe voué aux dieux de l’information et à ses saints ? Aucun, enfin presqu’aucun, si ce n’est la présence là de quelques journalistes habitués aux cimes les plus élevées… Hmmm… → Récit complet.
On prendra le temps nécessaire 😉
Et à propos de poisson, sais-tu qu’un jour une sardine avait bouché le port de Marseille ?