MusiqueSage, l'image ?

Hubris, alias « FLG-437 »

[dropcap]Attention[/dropcap] les oreilles et les yeux ! Fan de Viens poupoule ou du Chanteur de Mexico, vade retro ! D'ailleurs tu ne serais pas là, et donc pas tenté d'aller voir-entendre cet Hubris, selon FLG, alias Frank Lovisolo-Guillard pour une plongée de 4'37". Plongée dans quoi, vers quoi, au-delà de quoi,, quand, où ? Ça, mon gars, ma belle, à toi de voir-entendre, je te le redis. Branche ta châine, sans la briser… Et pars. Avec pour seul viatique, cette sorte d'énigme de l'auteur, un peu sphinx à ses heures, pour un message très actuel :

"Pour les anciens Grecs il s’agit de la démesure ou de l’outrance dans le comportement.

"C’est aussi un sentiment violent né de l’orgueil qui allait jusqu’au dépassement des limites : l’offense envers les dieux. Dans les tragédies Grecques c’est la déesse vengeresse Némésis qui punit l’hubris. Elle est apparentée à Até et aux Érinyes.

"Selon Aldous Huxley, « Les Grecs savaient parfaitement que l’hubris, qui s’oppose à l’ordre divin de la nature, entraîne un juste retour des choses. »

HUBRIS, par  Frank Lovisolo mai, 2011

Partager

7 réflexions sur “Hubris, alias « <span class="caps">FLG-<span class="numbers">437</span></span> »

  • Dominique Dréan

    Vous me la baillez belle. A qui se fier ? Je croyais que le FMI avait mis de l’ordre là dedans…
    Trêve de plai­san­te­rie, « c’est à voir » et à entendre. Magnifique !

    Répondre
  • Laurence Morant

    Dans « hubris » j’en­tends aus­si lubrice… enfin lubri­ci­té… Mais j’en­tends mieux la musique de FLG : grave, puis­sante, impres­sion­nante, avec ou sans images.

    Répondre
  • Jean-Pierre PLEUVRY

    Le temps, musique de l’âme au firmament
    Composer et recom­po­ser en démesure
    Temps mort au ressusciteur
    Maître de musique écla­bous­sant l’espace
    Imprégnant le corps de spasme vibratoire
    Métaphore sonore à l’image renaissante
    Transcendance de l’Esprit en Matière

    JPP

    Répondre
  • Renaud P

    Bravo ! belle alliance audio-visu aug­men­tée de réfé­rences grecques. On n’est pas obli­gé de les recon­naître d’ailleurs, car le pro­pos se tient tout seul.

    Répondre
  • Surtout ne rien ajou­ter, pas même un com­men­taire. Ou juste un mot : chapeau !

    Répondre
  • Fleur Brenize

    Plaisir…c’est sacré dans la vie le plaisir !
    Je n’ai éprou­vé que cela sur ce blog.
    Merci !

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Translate »