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Cyclisme : le dopage technologique enfin avoué

Ca y est, tout est avoué : voici l'ère du dopage technologique ! Les soupçons ne manquaient pas : ces démarrages fulgurants de champions cyclistes dans des montées de cols, que même une mobylette n'aurait pas pu ; ces roues qui continuent à tourner lors d'une chute… Et c'est tout de même moins risqué, à tous points de vue, que la piquouse et autres potions "magiques". Le reportage ci-dessous dévoile enfin la face cachée de ce nouveau dopage. Tandis que bibi, sur son VAE (vélo à assistance électrique), ne fait pas mystère des limites de ses mollets…


Cyclisme : dopage technologique, le nouveau scandale

Le "progrès" ? La technologie + la falsification. Qu'il s'agisse de sport ou de finance, l'époque est vraiment sensass ! À quand la raquette de tennis à laser et la balle-missile subtilement téléguidée ?

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

3 réflexions sur “Cyclisme : le dopage technologique enfin avoué

    • Certes. Si tous les concur­rents se dopent, ou s’é­quipent de vélos élec­tri­fiés, la com­pé­ti­tion se déplace vers les meilleures drogues et les meilleurs vélos. Mais les comp­teurs seraient remis à zéro si tous les com­pé­ti­teurs béné­fi­cient des deux ; alors, ce sera le « meilleur » qui l’emportera. En atten­dant les « trans­hu­mains ». On s” marre de plus en plus dans ces spectacles 😉

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    • Gérard Bérilley

      Je ne suis pas sûr que le spec­tacle y gagne à terme. Le Tour de France, par exemple, est beau­coup moins pas­sion­nant qu’au­tre­fois. Toutes les étapes sont sur le même modèle, tous les ans. Etapes de plat : le pelo­ton laisse une échap­pée prendre 10 minutes, se met à rou­ler à 60 kilo­mètres de l’ar­ri­vée, rat­trape l’é­chap­pée à 2 kilo­mètres de l’ar­ri­vée, et sprint. Etapes de mon­tagne : le spec­tacle n’existe plus que dans les arri­vées au som­met, avec ces démar­rages qui dépassent l’en­ten­de­ment. C’est pour­quoi chaque année il y a de plus en plus de ces arri­vées au som­met. Il n’y a plus de ces très longues échap­pées de 2, 3, ou 4 bons grim­peurs qui met­taient des écarts sur le pelo­ton et ren­daient la course sur­pre­nante, pal­pi­tante. Pour tout dire, le dopage – pour les inté­rêts finan­ciers des équipes – rend la course asep­ti­sée, sans aucun rebon­dis­se­ment, tout à fait pré­vi­sible, et avec des écarts somme toute ridi­cules. L’ère des héros du cyclisme est ter­mi­née, où un cham­pion dis­tan­cé un jour pou­vait reprendre son retard le len­de­main ou quelques jours plus tard.

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