« C’est pour dire », fin de chantier

[dropcap]C’est[/dropcap] pour dire a quinze ans et s’arrête en douceur… Ou, du moins, se met en veilleuse… avec de beaux restes : 1700 articles, 5000 commentaires… Il y a de quoi piocher, lire, relire et commenter encore. Pour ce faire, plusieurs voies d’entrée : 1) À partir de la petite loupe, en haut à droite,, qui ouvre une fenêtre de recherche. 2) À gauche, sur le même niveau, par l’onglet « Archives depuis 2004 ». 3) Dans la colonne droite, via la fenêtre « Recherche ». 4) Plus bas encore, à partir du lien « Un étonnant coup d’œil » qui donne à voir… 5) Et enfin en déroulant tout le blog ci-dessous, puis en cliquant sur les titres. Pour ma part, me consacrant désormais à mes « œuvres complètes », je me limiterai à des soubresauts occasionnels et à d’aléatoires P’tits coins, selon l’inspiration du moment… Merci chaudement aux abonnés et lecteurs d’avoir partagé ce lieu d’expression libre. Gérard Ponthieu.

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

4 réflexions sur “« C’est pour dire », fin de chantier

  • 27 février 2020 à 0 h 36 min
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    Ben mon colon, pour un chantier, ç’en fût un, un sacré chantier. Point de 1000 ans comme N.-D., mais tout de même un chantier de pixels, c’est-à-dire de neurones, c’est-à-dire d’émotions et de concepts, c’est-à-dire d’une prose ferme, démonstrative, vacharde à bon escient, constamment sur la brèche de l’auto-critique, intransigeante quant à l’exercice de la raison, amoureuse du couple Vérité-Liberté, modeste en ce qu’elle s’efface souvent derrière son objet, tout en demeurant d’une subjectivité revendiquée. Une espèce de posture à la Montaigne, excusez du peu. Avec ça, une franche cordialité avec les commentateurs, fussent-ils adverses. Une gaillardise bien gauloise, mais pas de bassesse.
    Merci de nous avoir régalés par le choix de tes angles décalés, ta liberté de penser assez ananar, avec pour feu d’artifice ce morceau d’anthologie sur Matzneff et ses connivants, exemplaire d’un travail de recherche proprement journalistique, Tu t’inscris dans cette lignée de journalistes écrivains et lycée de Versailles, que je ma garde de nommer de peur d’offenser ta pudeur.
    Tu dis que tu vas te consacrer à tes œuvres complètes. Tant que c’est chaud tu devrais songer à publier un choix de ces chroniques blo[a]gueuses. Alexandre Viallate le fit bien, Et c’est ainsi qu’Allah est grand,
    Merci vieux frère.

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  • 27 février 2020 à 10 h 07 min
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    Qué misere ! qu’est-ce que j’aurai à dire dans les salons où l’on cause alors ? Salut l’artiste et à d’autres cieux!

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  • 27 février 2020 à 17 h 28 min
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    J’ai été pris de surprise, n’ayant pas perçu de signaux y compris faibles comme quoi “C’est-pour-dire” allait s’arrêter. Toutes proportions gardées, une surprise du genre de celles qui annoncent le décès subi (un décès est forcément subi, mais pas systématiquement soudain, je veux dire : prévisible) d’un ami qui vous est cher.
    Dans la confusion mentale qui caractérise le travail de deuil précoce, je me suis posé des questions : l’ami Gé est-il atteint du retraité, de lassitude graphomane ? D’un complexe émergent de découragement démissionnaire ? Est-ce que cette fermeture de la boutique restée artisanale cacherait une reconversion dans la haute finance (peu probable) ou dans l’indolence rêveuse du retraité, façon Contemplations hugoliennes (plus réaliste) ?
    Et puis ça m’a interpellé : voilà que Gé écrit depuis plus d’un demi-siècle, en dehors du taf alimentaire, pour faire passer des idées généreuses, lucides, rationnelles et accessoirement reichiennes. Je me tiens pour un frère en écriture, tant sur la longueur que sur l’esprit. Cet arrêt quasi cardiaque du blog ponthieusien me pose alors la question du rendement, si je puis dire : tous ces efforts passés à analyser, à se documenter, à argumenter, à raisonner, qu’ont -ils opéré ? Certainement pas la prise de conscience libératrice de l’aliénation pour les larges masses. Alors quoi ? Un plaisir intellectuel à partager entre happy fews ? Oui, pour l’instant du moins, j’en resterai là : le blog gérardien m’a amené à phosphorer, et même s’il n’était pas le seul, c’était avec une qualité qui me régalait. Thank you, Mister Gé !

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  • 28 février 2020 à 13 h 04 min
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    Zut, Il va falloir se rabattre sur TF1 🙂 !
    Mais, curieusement, j’ai le pressentiment que la veilleuse nous illuminera parfois de quelques propos judicieusement choisis ! Une intuition….
    La bise !

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