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Du loup ou du père Noël, on ne sait qui croire

Un petit conte en dessin animé sans grande portée existentielle – quoique…

Notez à quel point le loup est con : il s'acharne contre la porte, alors que la fenêtre lui "tend les bras". Pfff ! Pareil pour les petits cochons, qui ne barricadent que la porte – à moins qu'ils  parient sur la connerie du loup. Ben oui, puisqu'ils l'attendent par la cheminée… En somme, c'est la lutte éternelle du Bien et du Mal, mais pas de l'intelligence ! Finalement, ce conte est tout de même bien philosophique.

Le loup, le vrai, au fait : il repeuple les Alpes et serait même arrivé en Provence, et même aux confins de Venelles, là où je crèche. Si l'on en croit le journal du même nom, La Provence.

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

11 réflexions sur “Du loup ou du père Noël, on ne sait qui croire

  • BION

    Pieds sur terre
    Le bien ne serait que le revers du mal ?
    Comment pour­rait exis­ter l’un sans l’autre ?
    Le jour sans le cou­cher et le lever du soleil ?

    L’histoire raconte, ici, qu’à vou­loir, même en défense, détruire un cer­tain mal, fon­ciè­re­ment atta­quant, que cela ne marche pas bien.

    Conclusion : il nous faut donc un autre monde … avec loups végétariens

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    • Oui, voir au-delà du binaire que nous avons inté­gré dans toute notre culture, au plus pro­fond de nous-mêmes. J’aborderai un de ces jours la remise en cause – notam­ment par l’an­thro­po­logue Bruno Latour – cette notion de Grand Partage par laquelle domine la concep­tion binaire du monde et, comme par hasard, la domi­na­tion auto-affir­mée des « modernes » et des occi­den­taux, des « déve­lop­pés », etc., bref des dominants.

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  • Liberté

    Elle est vrai­ment con cette histoire !

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  • Daniel Chaize

    Ainsi, la voi­là la soupe de Noël. Pleine de cadeaux… et tou­jours pas de livreur. Pas si con que ça le loup. Il lui reste qu’à bouf­fer du renne. Trois orphe­lins, y’a de quoi tenir.

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  • Gian

    En lais­sant le loup affa­mé ten­ter sa chance avec des moins toniques qu’eux, les trois petits cochons sont quand même de grands bien­fai­teurs de l’hu­ma­ni­té en éli­mi­nant, à leur insu et peut-être grâce à lui, le mythe débi­li­tant du Père Noël…

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    • Oui mais c’est du ciné ! Titre et papier du Monde du jour : « La quête mira­cu­leuse des églises à Noël –
      Un tiers du bud­get annuel des églises est récol­té sous la forme de dons au moment de Noël, des sommes obte­nues grâce à l’engagement des fidèles mais aus­si pour des rai­sons fiscales. »
      Ainsi, grâce à cette mar­tin­gale, l’État contri­bue à finan­cer les églises !

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