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Rappel. Pédophilie : de la chute de Matzneff à une lecture sexo-politique de l’après-68

[dropcap]Il[/dropcap] y eut un « avant » et une certaine « affaire Matzneff »… Il y eut aussi un bouquin de Gérard Ponthieu sur ladite affaire, et un méchant virus pour en contrarier la diffusion. Et il y a maintenant : Pédophilie : de la chute de Matzneff à une lecture sexo-politique de l’après-68 est désormais disponible dans les bonnes librairies. On peut aussi le commander (14 euros - chèque ou CB) directement aux Éditions libertaires : https://editions-libertaires.org/?p=1740

“Je m’y interroge sur l’impunité qui a entouré les affaires de pédophilie dès après Mai-68, et en particulier sur cet « air du temps » qui a permis la complicité d’une certaine élite dont, entre autres, Sartre, Beauvoir, Foucault, Hocquenghem, Schérer, Duvert, Sollers, Cohn-Bendit, Pivot, Finkielkraut, Bruckner, July… et Dolto. Par là-même, je mets en évidence le rôle déterminant de Libération, de l’émission télé Apostrophes et également d’une revue comme Sexpol, que j’ai créée et dirigée de 1975 à 1980. À ce titre, j’ai mené une analyse sexo-politique qui conduit à une lecture très actuelle de notre société. Bien sûr, ces pages sont dédiées à Vanessa Springora, auteure du Consentement, qui a ouvert la brèche.” [GP]

Si vous le pouvez, merci de contribuer à la diffusion de cet ouvrage.

[101 pages – Illustrations – 14 € – ISBN : 978-2-900886-12-0 ]

 

Sommaire

– Préface de Jean-Marc Raynaud : Du chien et des puces !
– Une affaire, et tant d’autres…
– Un jeu de société dénommé « Interdit d’interdire »
– Libération des pulsions, libération du Marché roi
– Le cas Dolto : un désarroi face à la perversion
– « De l’exécrable à l’exquis », le vénéneux Tony Duvert
– « Libération », sac à déjections
– Cohn-Bendit, Dany-la-braguette
– Allemagne : Cohn-Bendit encore
– Pivot, un flirt avec l’air du temps
– Finkielkraut « stimulé » par Tony Duvert
– Pédophilie au nom de l’art, du luxe et de la publicité
– La revue Sexpol et la réalité de l’homme pathologique
– Portrait. L’archange Gabriel qui se croyait intouchable
– Florilège illustré, extraits du site de Matzneff et morceaux choisis
– Envoi. À celle qui a osé « peindre Picasso »

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

11 réflexions sur “Rappel. Pédophilie : de la chute de Matzneff <span class="pt_splitter pt_splitter-1">à une lecture sexo-politique de l’après-<span class="numbers">68</span></span>

  • Alain Sainte-Marie

    Ce n’est pas l’Esprit de Mai qui a géné­ré des pédo­philes, ce sont d’abord des struc­tures psy­cho-sexuelles per­verses, délé­tères qui ont pro­fi­té d’un air du temps plus favo­rable pour mieux se mani­fes­ter (« inter­dit d’interdire »/​ « jouir sans entraves »).
    Par contre, plus inté­res­sant, consta­tons que Matzneff entre autres, a pu se pré­va­loir du sou­tien de tout un milieu social notam­ment lit­té­raire, artis­tique, intel­lec­tuel qu’il convient d’interroger jusques y com­pris l’amnésie, l’amnistie per­ma­nente des ins­tances poli­cières et judiciaires…
    Comment expli­quer, et l’enquête de G.PONTHIEU l’évoque suf­fi­sam­ment, l’inaudible défense des PIVOT (« à l’époque la lit­té­ra­ture pas­sait avant la morale ») des FINKIELKRAUT/​BRUCKNER ( « on est allé trop loin en pen­sée ») voire SOLLERS (« je signais n’importe quoi ») sans omettre F.DOLTO et son psy­cha­na­lysme ahu­ris­sant ( le com­plexe d’Œdipe à l’origine de tous les soi-disant « consen­te­ments » d’enfants/adolescents abusés…)…sauf à noter, chez tous ces gens, un déni de réa­li­té- l’ENFANT N’EST JAMAIS SUR UN PIED D’EGALITE PSYCHO-SEXUELLEMENT AVEC UN ADULTE- accom­pa­gnant l’idéologie d’un désir-roi par et dans lequel tout est permis…
    L’Esprit de Mai n’a pas fait de tout un cha­cun des pédo­philes, des vio­leurs ou encore des assoif­fés de pou­voir ou de fric ; cepen­dant , chaque fois que le ver était dans le fruit, l’absence de garde-fou social ou indi­vi­duel a favo­ri­sé les dérives cri­mi­no­gènes. Un slo­gan situa­tion­niste de Mai 68 inter­ro­geait intel­li­gem­ment ce qui allait adve­nir quand il récla­mait « ASSEZ D’ACTES, DES MOTS »… Alain SAINTE-MARIE

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  • geoffroy

    Le bou­quin est-il dis­po­nible à la librai­rie anar Publico ?

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    • Oui ! Il y est (confir­ma­tion directe) : 145 Rue Amelot, 75011 Paris
      Ferme à 19:30
      Téléphone : 01 48 05 34 08

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      • Sylvie

        C’est mon com­pa­gnon, le libraire de Publico, qui m’a conseillé ce livre qui nous a beau­coup inté­res­sés. Il en a par­lé dans une émis­sion sur Radio liber­taire, Lundi matin (dis­po­nible en pod­cast). J’en ai par­lé éga­le­ment sur le forum liber­taire, dans le topic « L’anti âgisme, pré­texte à la pédophilie ».

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        • Grand mer­ci, les amis ! D’autant plus que le vilain virus a aus­si gelé le cir­cuit des bou­quins. Salutations libertaires.

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  • Sylvie

    Je viens de remar­quer en consul­tant votre site que la revue SEXPOL a été numé­ri­sée par MIEL. Je sup­pose que vous n’êtes pas au cou­rant, mais ce site est car­ré­ment pro-pédo­phile. Je donne des preuves à ce sujet sur le topic « l’an­ti âgisme, pré­texte à la pédo­phi­lie ». Outre la dénon­cia­tion de « l’hys­té­rie anti-pédo­phile » il y est pré­co­ni­sé de mon­trer des images por­no­gra­phiques aux enfants en les com­men­tant avec eux, voire de faire l’a­mour devant eux, « pour­vu que ce ne soit ni violent ni per­vers » (?!) On peut y trou­ver le livre de l’en­sei­gnant (en école pri­maire) pédo­phile Jules Celma, qui y déclare par exemple : « J’ai répri­mé les pra­tiques sexuelles quand elles deve­naient trop impor­tantes, trop exci­tantes. J’ai par­fois frap­pé des gosses. J’ai été obli­gé d’im­po­ser le calme à coups de menaces et de men­songes. Tout ça par crainte de pour­suites judi­ciaires. L’insuffisance de radi­ca­li­té de mes sup­pléances est donc bien due à une répres­sion, et non à un non désir, soit de ma part, soit des enfants. » Je vous conseille à nou­veau de consul­ter le topic « L’anti âgisme pré­texte à la pédo­phi­lie » sur le forum liber­taire pour plus de détails. Et je pense dans une optique de renie­ment d’un pas­sé pro-pédo­phile il serait cohé­rent de renier aus­si le MIEL

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    • Sylvie : Je n’é­tais pas dis­po­nible ces temps-ci pour réagir à ton com­men­taire. Depuis, j’ai cher­ché en vain dans ma bibli le bou­quin de Celma, qui s’y trouve pour­tant… sans doute en planque…
      Je viens de lire l’a­bon­dante et riche dis­cus­sion sur le forum liber­taire [ https://​www​.liber​taire​.net/​d​i​s​c​u​s​s​i​o​n​/​l​a​n​t​i​-​a​g​i​s​m​e​-​p​r​e​t​e​x​t​e​-​a​-​l​a​-​p​e​d​o​p​h​i​l​i​e​.​20981/ ] où, cepen­dant, tu me qua­li­fies à tort de « pro­sé­lyte repen­ti ». Prosélyte, sûre­ment pas ! Je m’en explique dans mon bou­quin, cha­pitre Sexpol, où je rap­pelle la scis­sion pro­vo­quée dans l’équipe de la revue à pro­pos de « nos » deux pédo­philes alors avé­rés, qui ont aus­si­tôt déga­gé. (Il s’agit bien de Claude Guillon et Mano Tarrière.) « Repentance » pas davan­tage : des regrets, oui, d’avoir, aus­si, à cette époque post-68, cédé à cet « air du temps » qui a fait les beaux jours, si on peut dire, de cette tolé­rance pro-pédo­phile dis­si­mu­lée sous le masque pseu­do-liber­taire du tout-per­mis – pas d’interdit ni de tabous, qui seraient sources de refou­le­ments… Justement, ce qui res­sort de votre forum, qui en est au centre, c’est bien la ques­tion du refou­le­ment des pul­sions comme consti­tu­tif de la Civilisation – avec la majus­cule, oui ! En quoi je rejoins le « Un homme ça s’empêche » du père d’Albert Camus (dans Le Premier homme). Et on se serait bien pas­sé, sur cette ques­tion, des théo­ries de Freud, et plus encore de l’idéologie reli­gieuse freu­diste, celle des ado­ra­teurs du maître véné­ré en proie à ses propres per­ver­sions et pul­sions qu’il pré­ten­dait soi­gner… chez les autres, adeptes de son divan. Le cas de Françoise Dolto est à cet égard très expli­cite quant à ses asser­tions mons­trueuses, tant au sujet de l’enfant que de la femme ; je m’y attarde dans mon livre (et l’article de ce blog dont il est issu). Donc, ni pro­sé­lyte (je ne sau­rais l’être d’ailleurs en quoi que ce soit, même si je ne manque pas de défendre mes convic­tions, en les limi­tant à mon scep­ti­cisme), ni repen­ti, de ces repen­tances tant à la mode trans­at­lan­tique actuelle. Je n’ai rien à renier d’un quel­conque « pas­sé pro-pédo­phile » ! Je m’en explique dans mon livre et aucun de mes articles de Sexpol, et écrits en géné­ral, ne pour­rait por­ter trace de la moindre ambi­guï­té sur la pédo­phi­lie que j’exècre, dois-je le pré­ci­ser ? Il se trouve qu’à l’époque, tout acte de cen­sure rele­vait du tri­bu­nal civil, imma­nent, faus­se­ment anar­cho-liber­taire. L’ « air du temps » se trou­vait ain­si impré­gné par cette forme de ter­ro­risme intel­lec­tuel – dont les plus « purs » se pros­ter­naient alors devant Mao, Pol-Pot, Castro, et Khomeini, pour comble !
      Concernant le MIEL (Mouvement International pour une Ecologie Libidinale), il a en effet numé­ri­sé pour la dif­fu­ser la col­lec­tion des 39 numé­ros de Sexpol. C’est comme tel que son lien figure sur mon blog. Je n’ai pas eu d’autre rela­tion avec cette asso­cia­tion dont le site (en som­meil semble-t-il depuis 2015) pro­pose de nom­breuses entrées, sou­vent très inté­res­santes – et aus­si pro-pédo­philes ou pour le moins « atten­tives ». Pour autant, dois-je le « renier » et à quel titre ? Je ne le ferais pas plus que s’il s’agissait de cen­su­rer Alain Soral, Dieudonné, Zemmour, etc. et même Trump ! Ne pas débou­lon­ner l’Histoire avec ses sta­tues. Ne rien mas­quer des tur­pi­tudes humaines pour mieux s’en pré­mu­nir. Laisser la libre cri­tique exer­cer son fil­trage, et encou­ra­ger cet esprit cri­tique, afin de dénon­cer tous les abu­seurs, à com­men­cer par ceux des enfants qui, pré­ci­sé­ment, ne se trouvent pas « à armes égales » devant les per­vers du type Matzneff.

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  • Gérard Ponthieu, pour remettre les pen­dules à l’heure.

    Il y a livre et Livre, cer­tains font l’effet d’une claque salu­taire, on en sort bou­le­ver­sé, remué de pied en cap, dégoû­té , Pédophilie de Gérard Ponthieu est de cette trempe. Je suis res­té muet, incré­dule devant les preuves à charge, quelques grands noms, cer­tains admi­rés, qui sous cou­vert de pro­vo­ca­tions, de pré­ten­dus consen­te­ments, d’air du temps, de slo­gans dévoyés comme « un Jouissons sans entrave » à l’usage des per­vers, se révé­lèrent au mieux com­plices au pis acteurs de ce mas­sacre des inno­cents que fut, dans les années soixante-dix et quatre-vingts la pédo­phi­lie défi­nie comme l’un des beaux-arts, et enta­chèrent par leurs dits et écrits une libé­ra­tion, le plus sou­vent irré­pro­chable, des pen­sées et des mœurs.

    S’ouvrant sur la très récente affaire Matzneff, écri­vain pri­mé, pédo­phile notoire, reven­di­qué, pro­té­gé par ses édi­teurs, les médias, l’intelligentsia au nom du beau style et de la liber­té d’expression, jusqu’à l’inévitable et très tar­dif lâchage suite au livre de Vanessa Springora Consentement , Gérard Ponthieu, qui diri­gea, dans ces années-là, la revue Sexpol, sexua­li­té-poli­tique, qui enten­dait por­ter un regard neuf sur l’histoire humaine en par­ti­cu­lier à par­tir des tra­vaux de Reich, montre avec une grande hon­nê­te­té, la com­plai­sance d’un cer­tain nombre d’intellectuels à tolé­rer l’intolérable.

    Contextualisant sans excu­ser, le livre s’avère un réqui­si­toire redou­ta­ble­ment effi­cace. Ne s’appuyant jamais sur de simples allé­ga­tions, il cite ses sources, les­quelles sont pré­cises et véri­fiables, écrits, entre­tiens des Matzneff, Duvert : « Je n’ai jamais fait l’amour à un enfant de moins de six ans », Cohn-Bendit, Finkielkraut, et tout aus­si acca­blantes les paroles d’une Françoise Dolto ren­voyant la res­pon­sa­bi­li­té des actes pédo­philes aux enfants eux-mêmes : « Les enfants ont des dési­rs pour les adultes, ils piègent les adultes à cause de ça » ; les articles pro-pédo­phi­lie du jour­nal Libération…

    Au moment où des liber­taires révo­lu­tion­naient des pra­tiques péda­go­giques d’un autre temps, il y eut aus­si quelques ogres, chantres d’une sexua­li­té tel­le­ment libé­rée qu’elle pou­vait se libé­rer de toute éthique et faire fi des paroles de Camus, que Gérard Ponthieu nous rap­pelle : « Un homme ça s’empêche. Voilà ce qu’est un homme, ou sinon… »

    Il était temps de remettre les pen­dules à l’heure.

    Thierry Guilabert

    Pédophilie, de la chute de Matzneff à une lec­ture sexo-poli­tique de l’après 68. Gerard Ponthieu. Éditions Libertaires – 14 euros
    En vente à la librai­rie Publico.

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  • Roger Cantor

    Salutaire bou­quin ! Autour de l’af­faire Matzneff elle-même, j’ai par­ti­cu­liè­re­ment appré­cié le lien éta­bli, et argu­men­té, entre « libé­ra­tion des pul­sions » et celle du Marché roi. De Libé aux Échos, du Monde à l’Expansion et tout le cor­tège mondialiste.

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  • bosquart

    Il est un peu tard pour réagir en défense de Gérard Ponthieu. Je crois même qu’il n’a pas besoin de moi pour ça. J’ai été un lec­teur assi­du de la revue SEXPOL dont je pos­sède l” entiè­re­té papier des numéros.
    J’ai été pas­sion­né par les tra­vaux et le cou­rage poli­tique de Wilhem REICH dont je détiens encore la plu­part des ouvrages. Il y avait dans les « per­son­nages » ( étaient-ils tous, tou­jours jour­na­listes ? je ne le crois pas ; d’ailleurs libre à un direc­teur de publi­ca­tion et à son comi­té de lec­ture d’ac­cueillir les textes qu’ils sou­haitent !) de la revue un cer­tain ROGER DADOUN, décé­dé depuis lors, un com­men­ta­teur, un émi­nent connais­seur et dif­fu­seur de la pen­sée rei­chienne ! Je ne sais pas com­ment il a pour­sui­vi son his­toire de vie, je crois me sou­ve­nir qu’il a été cri­ti­qué, peut-être « bla­ck­lis­té » dans sa vie et ses tra­vaux ultérieurs.
    Il a pu exis­ter, c’est vrai, des textes, voire des immix­tions liées à la pédo­phi­lie ; mais je crois que la vigi­lance de Gérard et d’autres aus­si, ont réus­si à les empê­cher de nuire et de pros­pé­rer. D’ailleurs j’ai com­mu­ni­qué à ce sujet auprès de Gérard Ponthieu après le dévoi­le­ment effec­tué par Vanessa SPRINGORA dans son livre  » Le consentement ».
    Je n’ai pas ache­té le livre de Gérard ; je m’en excuse auprès de lui ; c’est un peu de la paresse de ma part. Je m’ap­prê­tais à le faire de suite, mais comme je quitte mon domi­cile d’i­ci 3 jours, j’ai craint que le livre encombre ma boîte aux lettres.
    Je salue encore une fois le tra­vail poli­tique au sens noble de cette revue qui a osé ( et 7 ans après Mai 68 ! donc pas immé­dia­te­ment après) bri­ser un tabou, celui qu’a­vait osé bri­ser Wilhem REICH en son temps, à la fois dans le mou­ve­ment psy­cha­na­ly­tique et le mou­ve­ment com­mu­niste, à savoir le tabou de la SEXUALITE. Et appe­ler une revue SEXPOL pour SEXUALITE POLITIQUE, cha­peau bas ! Des sujets essen­tiels ont pu alors être abor­dés, dis­cu­tés, échan­gés avec res­pect, avec des diver­gences, certes, mais avec aus­si beau­coup d’a­cui­té et de professionnalisme.
    André Bosquart des Hauts-de-France

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  • Merci cher André pour tant de louanges liés à ta vigi­lance sexo-poli­tique. Tu m’inquiètes, par ailleurs, au sujet de mon ami Roger Dadoun, que tu dis décé­dé ; je m’en étonne, pen­sant que j’en aurais été aver­ti, bien que nos liens se soient dis­ten­dus avec le temps… Vérification faire sur la toile, je ne vois pas trace de sa mort éven­tuelle… Son télé­phone don­nant sur boîte vocale, je n’en sais donc pas plus. D’où tiens-tu cette infor­ma­tion ? Quoiqu’il en soit, je t’adresse mes cha­leu­reuses salu­ta­tions. Gérard Ponthieu

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