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GRATUITS”. Doublé par Metro à Nantes et Rennes, 20 Minutes provoque la tempête à Ouest-France

Image_3 Tandis que Metro a débarqué aujourd’hui [1/02/05] à Strasbourg, Nantes et Rennes, l’arrivée imminente de 20 Minutes dans les deux métropoles bretonnes lève une tempête dans les rédactions d’Ouest-France.

Rappelons [voir ci-dessous Nantes, Rennes et Strasbourg sous le tsunami de "20 Minutes" et "Metro"] que le lancement de 20 Minutes en Bretagne a été préparé en étroite relation avec Ouest-France, puisque les deux journaux ont établi un partenariat financier et éditorial, tout comme à Toulouse entre le même 20 Minutes et La Dépêche.

«Il ne s'agit pas de s'échanger des journalistes, avait déclaré au Figaro [31/01/05] Francis Teitgen, directeur général délégué de Ouest-France, chacun aura sa rédaction, mais Ouest-France pourra, par exemple, contribuer aux pages «loisirs» de 20 Minutes.»

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Le «pourra» n’a pas dupé les journalistes, qui se sont sentis mis devant le fait accompli. La grogne a gagné la zone de couverture du plus gros journal hexagonal : Pétitions dans les départements contre la rédaction en chef accusée d'autoritarisme, de manque de concertation, et même suspectée de vouloir faire d'OF un mixte du Parisien et des gratuits.

C’est à Nantes que la protestation semble avoir été la plus vive puisque les pages «Loisirs» d’Ouest-France seraient directement reprises dans 20 Minutes Nantes. La tenue d’un comité d’entreprise d’urgence aurait été envisagée, selon certaines sources.

Metro n’a pas cherché à provoquer le diable sur ce terrain. Il n'a en effet prévu pour l'instant aucune équipe rédactionnelle pour animer son contenu local, constitué mardi de deux pages de programmes d'activités culturelles à Nantes et Rennes et d'une carte météo régionale. "Nos lecteurs attendent surtout un contenu local pratique", a justifié Valérie Decamp. directrice générale de Metro France.

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Une réflexion sur “GRATUITS”. Doublé par Metro à Nantes et Rennes, 20 Minutes provoque la tempête à Ouest-France

  • henni mohammed nabil

    Madame, Monsieur,

    J’ai l’honneur de venir très res­pec­tueu­se­ment à votre très haute bien vaillance par la pré­sente requête concer­nant mes déboires avec mon employeur : Protection Service, une socié­té de sécu­ri­té, dont je n’est ces­sé de frap­per à toutes les portes sans trou­ver jus­tice, et me garan­tir le res­pect des droits régis­sant le tra­vail et la pro­tec­tion des citoyens.

    Ma lettre avant de vous être adres­sée fut adres­sée à Mr le Ministre de l’Intérieur, Monsieur le pre­mier Ministre, Mr le Garde des sceaux, Julien cour­bet, SOS Racisme fai­sant état des droits social, juri­dique et huma­ni­taire pour le res­pect des uns et des autres dans un pays de tous les droits.

    Etant sala­rié dans cette socié­té en qua­li­té de res­pon­sable de ville sur Nantes, et après avoir été dési­gné en qua­li­té de délé­gué syn­di­cal CGT-FO.

    Conformément aux res­pects des droits syn­di­caux, mes déboires avec mes res­pon­sables ont com­men­cé allant de l’harcèlement moral à l’harcèlement phy­sique qui se tra­duisent par des insultes dis­cri­mi­na­toire et pro­pos racisme, mar­gi­na­li­sa­tion, mani­pu­la­tion et sur­tout menaces phy­siques dont la Police Nationale à recueilli les preuves for­mu­lé dans des mains courantes.

    Cette situa­tion m’a obli­gé suite à tel pra­tique et agis­se­ment de cette entre­prise à limi­ter mes dépla­ce­ments et à res­treindre mes acti­vi­tés syn­di­cales en me péna­li­sant dans l’élaboration de mes fonc­tions, atti­tude com­pré­hen­sive d’un père de famille.

    Mon seul tort était d’avoir osé por­ter cer­taines pra­tiques dans les rela­tions employeur-salarié(e)s qui méprissent tous les codes et lois régis­sant tous les codes et lois régis­sant la pra­tique de notre fonc­tion dans ce pays, en en reven­di­quant des droits légitimes.

    L’inspection du tra­vail, Direction Départementale du syn­di­cat GGT-FO et Police Nationale, ces orga­nismes furent inter­pel­lés de ma situa­tion afin qu’il prennent acte de mes requêtes et démarches, en plus de mon action au conseil de prud’homme pour faire valoir mes droits et avoir je l’espère jus­tice dans l’application des lois de mon pays.

    J’insiste et vous fait savoir que nom­breux res­pon­sables et salarié(e)s ont aler­tés l’inspection du tra­vail du Havre afin de faire connaître les pra­tiques de cette entreprise.

    Mon der­nier recourt reste votre hono­rable per­sonne, sou­hai­tant que vous usiez de votre auto­ri­té pour mettre un terme à mon cau­che­mar et aux dépas­se­ments dont je suis comme d’autres victimes.

    Restant à votre dis­po­si­tion pour tout ren­sei­gne­ments com­plé­men­taire ou pièces jus­ti­fi­ca­tifs qui sont en ma possession.

    J’ose trou­ver, en votre esprit com­pré­hen­sif et huma­ni­taire un écho posi­tif à ma requête.

    N’ayant aucune écoute de toute part j’envisage dans un temps proche d’entamer une grève de la faim ain­si que d’autre sala­rié de cet entre­prise, afin d’alerter l’opinion public et faire connaître par les média les pra­tiques scan­da­leuse de celle-ci.

    Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mon pro­fond respect.

    Mr M.N. HENNI

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