Charlie, ou le droit de critiquer les religions
« Vous avez entre les mains, écrit Joffrin dans son édito [Libé du 7/02/07], le premier numéro d'un nouveau journal: Charlibération ». Comme au « bon vieux temps » des grandes bagarres contre Anastasie, des solidarités se reconstituent face à l’ennemi commun. Sauf que la censure, si elle affiche toujours le même visage de l'intolérance haineuse, a changé de costard. Sans remonter jusqu'à l'Inquisition – mais tout de même, n'oublions pas ces grands précurseurs ! –, la censure a d'abord été le fait des clergés puis, plus généralement, celle des clercs laïcisés, souvent déguisés en politiciens. Aujourd'hui elle s'est de nouveau enturbannée, ensoutanée, enkipanée, que sais-je ? Cette affaire des caricatures de Mahomet dénote, hélas, de l’ affolement panique du politique face au retour invasif du « religieux » dans la sphère publique. Les guillemets à religieux voulant pointer une catégorie de fanatiques assassins ainsi exclus de la sphère spirituelle vouée à l’élévation.
L’ennui vient du fait que les positions n’apparaissent plus guère lisibles, troublées qu’elles ont été par des interférences innombrables, attisées aux feux de l’enfer mondialisé. D’où viendrait, sinon de cette si grande confusion, que le Conseil français du culte musulman se soit senti autorisé d’attaquer un journal comme Charlie Hebdo ? Serait-ce que le politique aurait omis de rappeler, avec force conviction, l’un des principes fondateurs de la République française, la laïcité ? Et qu’en vertu de celle-ci est établi le droit de critiquer les religions. À la justice de rappeler le droit !
bonjour.… je pense que tous les journaux sont pareils que charlie hebdo „,parseque le presse meme a oublier de transmetre le bon mesage a ces lecteurs …je voi que les lecteurs d,aujourdhui sont atteint d,une maladie cerebrales qui les laissent lire n,importe quoi„, mais biensur les bons lecteurs savent quoi lire uobien sur quoi lire „„parseque en generale les medias oficiels sont faite pour du bien et pour ecririe du bien „,du bien qui peux etre medicament „„parseque les lecteurs comme les ecouteurs ont besoin d,ecouter du bien parseque le bien est un medicament .…
parcontre l,ecriture negative est un poison,l,ecriture negative est un arme qui blaise ‚l,ecriture negative est fait du mals,des douleurs,et meme des troubles cerebrale.
moi personnelement je prefere l,ecriture positive.parseque les lecteurs ont besoi du soin.et du soulagement.