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« C’est pour dire » en post-réanimation

Pour la deuxième fois en quelques mois, C’est pour dire a fait l’objet d’une attaque massive des plus virulentes obligeant son hébergeur à prononcer la mise en quarantaine du blog devenu trop contagieux. Hospitalisation en réa’, intubation et tout le toutim : le malade se remet doucement, sous les soins attentifs de son « webmaster » [Merci Loïc Danguy des Déserts, de chez MarseilleWeb dont la devise reflète l’efficacité : « Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ! »]. Le blog n’a pas retrouvé tous ses esprits, mais, comme on dit dans les médias, « le pronostic vital n’est plus engagé ». Néanmoins, masques, gel hydro-alcoolique, écouvillons et autres précautions sont de rigueur. Mais surtout pas de distanciation, ni de barrières d'aucune sorte !

À bientôt donc pour la suite de l’aventure. Et merci aux fidèles lecteurs !  (encore dénommés de nos jours lectrices-zé-lecteurs 😉

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Gerard Ponthieu

Journaliste, écrivain. Retraité mais pas inactif. Blogueur depuis 2004.

6 réflexions sur “<span class="dquo">«</span> C’est pour dire » en post-réanimation

  • Quand on est une « star » du web, il faut s’at­tendre à ren­con­trer des jaloux.ze et quelques mauvais.ses coucheurs.zes !!!!

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  • Et Raoult le local, alors ? Que ne tente-t-il pas un remède de son inven­tion ? Dans tout son tou­tim, il devrait bien s’y trou­ver un anti­vi­rus effi­cace, non ? Moi, j’at­tends de pied ferme tous les esprits qui habitent « C’est pour dire », et j’ai hâte de dire ce que j’en pense. Après la réani­ma­tion, il va y avoir de l’a­ni­ma­tion. Gérard, met le tur­bo, on suivra… 

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  • Françoise ALABE

    Ouf ! Me voi­là “ras­su­rée” (un de mes vieux amis mar­seillais vient de sur­fer sur la “vague” CoViDiesque de février 2021, un autre se remet – non sans dif­fi­cul­tés – d’une “pre­mière vague” hard en avril & mai 2020), C‑POUR-DIRE com­men­çait à me man­quer. Courage, et mer­ci encore de vos billets si toniques !-)

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  • De quels extrêmes bords vien­drait ce mal­fai­sant virus variant ? A moins que ce ne soit cette nou­velle incul­ture socié­tale « de l’an­nu­la­tion et de la dénon­cia­tion » (impor­tée et tant inté­grée par les der­nières géné­ra­tions vir­tuelles mais dites actives, au lieu d’addictes) ? 

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    • Gérard Ponthieu

      On ne peut rien écar­ter ni affir­mer concer­nant ce genre de manœuvres, à moins d’en­ga­ger des recherches « poli­cières » (d’ailleurs pos­sibles). Le mieux étant, là aus­si, de se pro­té­ger, sans s’é­par­gner les « variants » tou­jours à l’affut…

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