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Une fois de plus, Mme Michu fait voler (bas) les canards

Une fois de plus, Mme Michu fait voler (bas) les canards

Avec les beaux jours, tiens, revoici Mme Michu en rédactrice en chef. Sans sa petite laine, mais toujours à pas mesurés, le cabas plein de bonnes nouvelles, elle a frappé à la porte du Parisien puis de la Provence (un coup de TGV ou d’internet, et hop !), voir si par hasard, sait-on jamais, ils auraient besoin de quelque chose.

– Ben justement si, entrez donc ma bonne dame !
L’un se remettait à peine d'une diarrhée de caillassages anti-flics, l’autre n’en pouvait plus de ses ventrées d’OM.
– Bon sang, quelle aubaine que vous soyez passée, chère Madame Michu ! Vraiment comment vous remercier ?
Comme ça :

Provence_d20061027

Parisien_d20061027_1

Maintenant que Le Monde occupe le boulevard du Parisien [rappel ici], pas étonnant que se créé l’axe Paris-Marseille. Chacun monte la garde à son bout d’autoroute du soleil, à guetter le marronnier d’enfer. Le premier qui voit passer Mme Michu avertit l’autre et c’est ainsi que va la presse.

Pensez aussi à inviter Mme Soleil, ne serait-ce que pour sa dernière prédiction: quand les canards volent bas, c’est que rude l’hiver sera !

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Une réflexion sur “Une fois de plus, Mme Michu fait voler (bas) les canards

  • Ugh

    « Quand les canards volent bas, c’est que l’hiver sera rude ! »
    Ce qui m’évoque la blague du bûche­ron cana­dien qui, ren­trant du bois pour l’hiver, passe devant un vieil Indien qui pré­dit : « Ugh ! L’hiver sera rude ! » Confiant dans la sagesse indienne, le bûche­ron va cher­cher de nou­velles bûches, repasse devant le vieil Indien : « Ugh ! L’hiver sera TRÈS rude ! » Le bûche­ron rere­part cher­cher des bûches, rere­passe devant l’Indien, « L’hiver sera TRÈS TRÈS rude » etc.
    Pour agré­men­ter un ban­quet, on peut faire durer (il me semble que c’est Desproges qui en a fait un exer­cice de style, avec Maria Chapdelaine dans des posi­tions délec­tables mal­heu­reu­se­ment je ne peux pas les dire et c’est regret­table, ça nous aurait fait rire un peu) jusqu’à ce que le bûche­ron demande au vieil Indien dans quels signes il lit sa pré­vi­sion : « Quand homme blanc ren­trer beau­coup de bûches, l’hiver sera très rude. »
    Ce qui vaut un dis­cours sur le feed-back, par­don, la rétroaction.
    Quand jour­na­liste par­ler beau­coup de bus, l’hiver sera chaud. Et les élec­tions bien cadrées.
    Tiens, une autre sur la rétro­ac­tion. Un qui­dam croise PPDA dans la rue.
    Le qui­dam. Bon Dieu ! Vous ne me recon­nais­sez pas ?
    PPDA. ???!!
    Le qui­dam. Mais si ! Je vous vois tous les soirs à la télé !

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